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19 janvier 2011 3 19 /01 /janvier /2011 07:42

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Un braconnier a été intercepté vendredi soir dans une zone enclavée du nord-est de Madagascar en possession de 32 lémuriens grillés, a annoncé lundi l'ONG environnementale malgache Fanamby.

Le braconnier a été interpellé par la police à l'entrée de Vohémar (700 km au nord-est d'Antananarivo), indique dans un communiqué l'ONG malgache, responsable de l'aire protégée Loky-Manambato située à proximité.
 
"L'homme a reconnu avoir au moins deux complices, que la police recherche activement", a précisé Serge Rajaobelina, président de Fanamby. La chasse aux lémuriens, dont plusieurs espèces sont menacées d'extinction ou sont en danger, est interdite par la loi malgache et passible de deux à cinq ans d'emprisonnement.
 
"Malgré la vigilance des communautés locales, sensibilisées depuis plusieurs années, la demande des consommateurs friands de viandes braconnées (tortues marines et lémuriens, ndlr) est en croissance dans les villes environnantes de Sambava et Antalaha, aux économies stimulées par le commerce illicite du bois de rose", a déploré l'ONG Fanamby.
 
"L'homme a été arrêté alors qu'il arrivait de la piste et allait entrer à Vohémar. Dans cette localité, on peut manger du lémurien dans de petits restaurants, même si ce n'est bien sûr pas officiellement à la carte", a expliqué M. Rajaobelina.
 
En 2009, Fanamby avait constaté un premier cas de trafic, suivi d'une arrestation. "Depuis, les trafiquants sont devenus plus vigilants sur la zone, opérant uniquement de nuit", précise le communiqué. 

 

Source: link

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DEVOLUTION

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18 janvier 2011 2 18 /01 /janvier /2011 22:02

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L’hémisphère nord, de moins en moins couvert par les glaces, a perdu de sa capacité de réverbération. Une étude a révélé que la diminution de ce mécanisme qui renvoyait une partie des rayons solaires vers l’espace pouvait participer au réchauffement climatique de la planète.


Des données satellites montrent que la glace de l’Arctique et du Groenland réverbérait une quantité assez faible de l’énergie solaire vers l’espace. Cette quantité a en effet beaucoup diminué entre 1979 et 2008. A l’heure actuelle, avec la fonte importante des zones de glace, le rayonnement solaire se perd dans l’eau ou sur les sols, tous deux trop sombres et absorbant les rayons.

L’étude qui a été menée et que rapporte Reuters estime que l’hémisphère nord renvoie 3,3 watts d’énergie solaire vers la haute atmosphère, soit 0,45 watts de moins qu’en 1970. En conséquence, la chaleur absorbée augmente et le réchauffement climatique également. Les données concrètes mesurées sont beaucoup plus importantes que celles utilisées dans les calculs pour évaluer l’évolution du climat.

Il s’agit-là d’un cercle vicieux puisqu’en se réchauffant, la planète amène les glaces à fondre plus rapidement, favorisant ainsi le réchauffement de la Terre et ainsi de suite. Plusieurs études envisagent même que la banquise de l’Arctique puisse fondre complètement en été d’ici quelques années. Les conséquences climatologiques, naturelles et humaines seraient catastrophiques.

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L'Humain Massacre Tout !!!!

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12 janvier 2011 3 12 /01 /janvier /2011 16:30

ATTENTION CETTE PAGE CONTIENT DES IMAGES ET VIDEOS DIFFICILEMENT SUPPORTABLES !!!

Voici le rappel des faits et des martyrs que subissent ces pauvres chiens qui pourtant sont des amours, fidèles et tellement doux...

"LES MARTYRS DE LA CHASSE

L’usage premier du lévrier a été la chasse. La chasse au lévrier visait des gibiers divers en fonction de leur race. Lièvres pour les greyhounds, whippets, et galgos, daims pour le deerhound écossais, loups pour le barzoï russe ou l’Irish wolfhound, gazelles pour les sloughis et azawakhs.

En europe la chasse au lévrier a été interdite sauf en Espagne et au Portugal. Les galgueros, (chasseurs espagnols), chassent sans fusil, c’est leur lévrier qui rattrape le gibier à la course et le tue.

Malheureusement pour les chiens, là encore leur vie ne tient qu’à leurs performances.

A la fin de chaque saison de chasse les chiens les moins efficaces sont systématiquement éliminés.

Les femelles servant à la reproduction vivent constamment enfermées ou à l’attache et leur vie se limite à faire des petits pour renouveler le cheptel.

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Si les britanniques éliminent les chiens à grande échelle, les espagnols font figure d’amateurs avec leurs 8.000 lévriers tués chaque année. Mais dans ce pays une autre composante va venir transformer la boucherie en barbarerie, et cette composante s’appelle « l’honneur ».

En effet un galgueros dont le chien n’attrape plus de gibier est atteint dans son honneur ce qui lui donne le droit de se venger et de faire souffrir l’animal pour laver l’affront.

Des proverbes espagnols liés à cette tradition disent ; « un lévrier ne vaut pas la balle pour le tuer », ou « un mauvais chien ne mange pas dans ma maison ».

Ces hommes, si l’on peut encore les nommer ainsi, vont donc rivaliser d’imagination pour faire disparaître les chiens de la façon la plus abominable possible :

- La méthode traditionnelle : la pendaison

Deux variantes ; Le chien a bien chassé dans sa carrière, il est pendu haut.

Le chien chassait mal, il est pendu pattes arrières touchant le sol, l’obligeant à sautiller sur place pour retarder l’asphyxie et les pattes avant battant dans le vide d’où le nom de position du pianiste.

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- la salissante : le coup de couteau, (moins employée car il faut entraver le chien sous peine de le voir s’enfuir en se vidant de son sang)

- la festive : on asperge le chien d’essence et on allume (rien n’empêche de le pendre en même temps)

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- la sportive : on l’accroche à la voiture et on le tracte

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- la discrète : on le jette dans un puit (possibilité de grouper)

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- la méthode propre : on le pique à l’eau de javel

- la folklorique : vous mettez 15 lévriers dans une camionnette, vous vous rendez en centre ville et vous ouvrez les portes (embouteillage garanti) les pauvres bêtes complètement terrorisées se font rapidement renverser.

- dernière méthode à la mode : vous allez en pleine forêt, vous brisez les deux antérieurs du chien sur vos genoux et vous le laissez mourir de faim et de soif (briser les deux jambes est nécessaire car même avec une jambe cassée il peut encore vous suivre, il paraît qu’ils sont fidèles.)

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Les rescapés de ces massacres finissent dans les pereiras, (les fourrières espagnols), dont beaucoup sont surnommées « les couloirs de la mort ». les chiens vivent en groupe, les plus forts tuent les plus faibles et tentent de survivre dans des conditions difficiles en se battant pour la nourriture

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Quelques vidéos sur leurs martyrs et leurs histoires, certaines sont choquantes




http://www.youtube.com/watch?v=7BfKe2Tf7U8










Voici la vidéo d'un sauvetage fait en Espagne, un grand bravo a ces bénévoles qui se défoncent sur le terrain dans des assos comme Kimba, ANAA, Scooby ou Los amigos de los galgos et toutes les autres



Voici deux textes pour expliquer et dénoncer la méthode de pendaison des lévriers (Pendaison dite du "pianiste")

"La lettre au pianiste, décrivant la méthode de pendaison sadique des galgueros, pour faire durer, agonie et souffrance "


Le Pianiste

C'était un bout de terrain presque plat, une saignée dans la forêt, les hommes
étaient là, en groupe. Ils fumaient des cigarettes mal odorantes qu'ils
roulaient tout en plaisantant. Nous, les galgos, on était au pied. Les
oreilles agitées, attirées par les mille bruits de la forêt.
Un peu excités aussi, par l'odeur du lapin qui était là, à quelques pas, dans
la cage grillagée. On sentait sa peur. Elle nous attirait, comme un
aimant.
Les hommes se sont mis en rang, chacun avec un galgo serré
entre leurs cuisses, les colliers de corde ou de fil de fer étaient
solidement tenus.
Le mien entrait douloureusement dans la peau de mon cou.
Puis, ils ont ouvert la cage. Affolé, il a surgi à la vitesse
de l'éclair. Au signal, les galgueros ont lâché les colliers. J'ai
ressenti une vive douleur à la queue. Pour me faire " démarrer " plus
vite, mon maître l'a entaillée avec son couteau. Comme mes frères de
course, je porte des dizaines de stigmates de ces coupures. Cela ne me
fait pas courir plus vite, mais mon maître ne semble pas s'en rendre
compte.
Alors, j'ai couru. Couru de toutes mes forces, couru de tout
mon être. Je voulais l'attraper cette petite boule de fourrure beige
qui s'agitait frénétiquement devant nous, changeant sans cesse de
trajectoire pour nous tromper. Le sang battait à mes tempes et je
sentais l'air s'engouffrer dans ma large poitrine après les premières
secondes où j'avais retenu mon souffle. Mais je suis un coursier. Un
chasseur et un coursier, et je ne le quittais pas du regard. Je
percevais son affolement. Les hommes criaient, tapaient dans les mains,
criant les noms des chiens qui couraient pour eux. J'étais presque sur
lui, je recevais de minces giclées de poussière soulevées par ses
pattes.
Et puis, il y a eu cette motte de terre qui a cédé sous ma
patte, j'ai perdu l'équilibre un instant, mais je ne suis pas tombé.
Blas, un grand galgo noir en a profité, il m'a devancé et a attrapé le
lapin. Il l'a secoué dans sa gueule, en sautant en l'air de plaisir. Je
me suis approché, mais il a grogné. Il était le vainqueur. Les hommes
sont arrivés en courant, ils ont retiré son trophée à Blas. Il a aboyé.
Il a reçu un coup de fouet.
Mon maître était furieux, je l'ai vu donner des morceaux de papiers au maître de Blas.
Il m'a attrapé par le collier, méchamment et a serré. J'ai gémi. Il m'a donné des coups de
poings et des coups de pied. Ce n'était pas ma faute, je ne l'avais pas
vu cette motte de terre, et puis, le plus important c'était bien que le
lapin qui s'était échappé ait été rattrapé. Même par Blas !
Enrevenant vers les voitures, j'ai aperçu Libra. Elle se traînait sur
trois pattes. Elle était tombée. L'os sortait de sa patte arrière
droite, juste au-dessus de la cheville. Son propriétaire, un gros
chasseur du coin l'a insultée, puis il l'a rouée de coups de pieds.
Chaque fois que les coups atteignaient sa patte brisée elle hurlait. Il
riait et il tapait encore plus fort. Puis il a donnée un coup de talon
sur son dos. Elle n'a plus bougé. Plus gémi. Mais j'ai vu ses yeux.
Elle était encore vivante.
Ils l'ont laissée là.
Il y avait de labière, les hommes ont bu en plaisantant. Le soleil commençait à
chauffer. Mon maître m'a attaché au bout d'une corde et il m'a entraîné
vers la voiture. Je suis monté à l'arrière, aidé d'un bon coup de pied
dans les reins. Tout en conduisant, très vite malgré l'état de la
route, il n'a pas arrêté de hurler après moi. De m'insulter. De temps
en temps il se retournait et me frappait avec un bâton qu'il a toujours
avec lui. Arrivé à la ferme, il m'a attaché. Très court. Je ne pouvais
pas atteindre la vieille bassine pleine d'eau sale dans laquelle je
bois habituellement. Il est rentré. Je l'ai entendu hurler encore.
Puis il est sorti, avec un fouet et il a commencé à me frapper. Je ne
pouvais pas m'enfuir, tout au plus me rouler en boule. Le fil de fer
m'étranglait et je suffoquais tandis que les coups pleuvaient sur mon
dos, sur mes flancs.
Pourquoi ?
Au bout d'un moment il s'est calmé. Il est rentré. Le soleil cuisait mes plaies,
les mouches seposaient sur moi, mais je n'avais même plus la force de les chasser.

Nina,
une petite galga est venue lécher mes plaies. Je n'ai pas réagi. Cela
apaisait un peu la brûlure. Mais elle ne pouvait rien faire pour ma
gorge serrée et desséchée par la soif. Nina est là depuis longtemps,
elle fait souvent des petits. Ils partent très vite. Elle est vieille
maintenant, elle est très maigre. Elle est là depuis au moins cinq
saisons de chasse.
La journée a été longue. Le maître est parti à la
chasse, avec Nina. Au soir il est revenu. Seul. Je ne disais rien, je
ne faisais aucun mouvement, comme si j'avais voulu me confondre avec le
sol. Mais il est revenu vers moi. Il m'a craché dessus et donné un coup
de sa botte ferrée.
Toute la nuit, j'ai grelotté, de froid, de
fièvre, de douleur. Les tiraillements de ma peau déchirée rendaient
chaque mouvement douloureux. Même respirer devenait un calvaire.

Au
matin, il est venu vers moi, il avait une longue corde. Il m'a
détachée, a passé la corde dans le fil de fer qui me sert de collier et
il m'a traîné. Je pouvais à peine me tenir debout. Il m'a attrapé par
le cou et par une patte et m'a jeté dans la voiture. J'ai hurlé. Il a
ri. J'avais mal. Mais son rire m'a rassuré. En général, quand il rit,
il ne frappe pas trop longtemps. Ou moins fort.
Il a pris un chemin
de montagne, un de ceux que nous prenons quand il m'emmène chasser.
Mais jamais je n'aurai la force de chasser. Je ne peux même pas me
remettre debout dans la voiture. J'ai glissé entre les sièges, sur le
plancher et je ressens tous les cahots de la route empierrée.
Il
fait beau. Au loin j'entends des oiseaux chanter. Une abeille est venue
se poser sur ma truffe. Je ne pouvais même pas la chasser. Elle s'est
envolée. Il doit y avoir pleins de lapins par ici. Je sens l'odeur de
leurs crottes. Il arrête la voiture. Il sort et fume une cigarette. Par
la fenêtre j'aperçois la fumée bleutée qui s'élève, mais je ne le vois
pas, ma tête posée sur le plancher de la voiture. J'entends sa botte
qui racle le sol. Il écrase sa cigarette. Il fait toujours cela. Il
ouvre sa porte et se saisit de la corde et il tire d'un coup sec. La
douleur est fulgurante. Mon souffle est coupé. Il empoigne sans
ménagement la peau de mon dos, comme le faisait ma mère lorsque j'étais
chiot. Mais il me fait mal. Je ne suis plus un chiot. Il me jette part
terre et il me traîne en me tenant par les pattes. Ma langue sort de ma
bouche, je n'ai plus de salive et la douleur de ma gorge est comme un
fer rouge. Il s'arrête enfin. Je sens alors les cailloux coupants du
chemin qui ont ravivé mes plaies. Il me regarde. Me donne un coup de
pied dans la mâchoire.
Pourquoi fait-il cela ?
Puis il saisit le
bout libre de la corde et il le lance dans un arbre, en travers d'une
branche. Je ne comprends pas ce qu'il veut faire. Puis il se met à
tirer. J'essaie de bouger, de me mettre sur mes pattes, mais je suis
trop faible et je retombe, sans force. Il tire toujours, je sens ma
tête qui s'élève, la pression sur ma gorge est horrible. J'essaie
d'aboyer mais je ne peux pas. Il tire encore, mes pattes de devant
quittent le sol, je sens mes vertèbres tendues à se rompre. Ma tête est
rejetée en arrière.
Et j'aperçois Nina. Elle est là. A quelques
mètres. Son corps noir et blanc tournoie à un mètre du sol. Sa langue
sort entre ses lèvres et des babines retroussées lui font un rictus
menaçant, elle qui n'a jamais résisté.
Mes pattes arrière touchent le sol. La souffrance est de plus en plus horrible.
Mes antérieurs griffent désespérément l'air, je me débats, en vain. Mes cuisses sont
tendues.Je veux vivre !
Je sens la tétanie qui les gagne, mes muscles tremblent. Le maître a allumé une cigarette.
Il regarde. Il parle. Il me demande quel air je suis en train de lui jouer sur mon
piano.
Je ne comprends pas. L'air passe de plus en plus
difficilement dans ma gorge. Une de mes pattes arrière vient de céder.
La pression se fait encore plus forte sur mon cou. Je sens l'odeur des
arbres, de la sève. Mais aussi l'odeur de l'homme, sueur, alcool, tabac
et essence. Une odeur que j'ai appris à craindre. Il rit. Ma vision
s'obscurcit. L'air ne passe plus. Je ne sais pas depuis combien de
temps je suis là. Les oiseaux qui s'étaient tus se sont remis à
chanter. Le soleil est haut dans le ciel. Je sens sa chaleur. Mais je
ne le vois plus. Je n'en peux plus. Trop mal.
La délivrance.

Lettre écrite il y a 10 ans par un Monsieur qui se battait déjà pour leur cause...

Sous titre : il jouait du piano assis

Voilà un message à publier qui est loin d'être facile à écrire

Comment écrire un article sur un sujet scabreux et décrire une technique de pendaison des galgos sans donner l'impression de faire un descriptif dénué de toute sensibilité?

Si la façon dont les choses sont exprimées sur ce message peut paraître choquante à certains, je veux bien le comprendre et m'en excuse à l'avance

J'ai vu beaucoup de cas de pendaisons défiler dans ma boîte aux lettres et j'ai été amenée à constater qu'en France tout comme même en Espagne il y avait quelquefois confusion concernant la technique de pendaison appelée "tocar el piano" traduit en français par "la danse du piano"

Il y a deux façons de pendre son galgo en Espagne suivant les "soi-disant" griefs accumulés contre lui par son maître, ces mêmes griefs qui feront que le galgo devra mourir de mort plus ou moins rapide

Le galgo qui aura été "malgré tout" un bon galgo aura droit à une pendaison "normale" qui devrait le faire mourir "assez" rapidement sachant que le galguero fera en sorte que ce soit le galgo qui se pende lui-même par épuisement

Il sera pendu plus ou moins haut, sur toute sa longueur avec juste le bout des pattes arrières qui touche le sol ou l'effleure et ce de manière à ce que le galguero comme dit plus haut puisse dire que son galgo n'est pas mort de sa main mais s'est pendu tout seul.

Le galgo fera des efforts pour essayer à l'aide de ses pattes arrières de soulager la traction subie par tout son corps et notamment au niveau des cervicales et ce jusqu'à ce que totalement épuisé il abandonne et se pende lui-même.

Ca, c'est la technique la plus couramment utilisée mais ce n'est pas celle qui est appelée "tocar el piano"

La deuxième technique, la plus affreuse, sera réservée au "mauvais galgo" et consistera à le pendre dans une position où ses pattes arrières reposeront sur le sol mais ce sont ses pattes avant qui, elles, affleureront le sol. Le galgo qui a quatre pattes comprend que pour se soulager il faut qu'il pose ses pattes avant sur le sol mais il ne le peut pas car alors à chaque fois il se pend un peu plus d'où le fait que c'est avec ses doigts qu'il effleure le sol, ne pouvant jamais poser sa patte entièrement sur le sol comme le fait le pianiste qui appose sur le clavier ses doigts sans jamais poser ses mains dessus.

Ils finiront par se pendre après des heures et des heures à essayer de se maintenir uniquement par les pattes arrières et cette technique, de loin la plus cruelle, est celle qui leur réservera l'agonie la plus longue et ça c'est "tocar el piano"

http://adoptarungalgoguiasyconsejos.blogspot.com/

Ci dessous des photos de galgos pendus selon la technique "tocar el piano" et la position dans laquelle on les trouve dès lors que les cervicales ont cédé

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Voici une page de pétitions pour aider ces lévriers

http://www.galgos.fr/pages/petitionspag.html

MERCI DE VOUS MOBILISER POUR EUX ET DE LE FAIRE SAVOIR AUTOUR DE VOUS


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10 janvier 2011 1 10 /01 /janvier /2011 01:23

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Fourrure:

 

Soldes D'Hiver ....

 

Voilà ce qu'on Vous Solde  !!!!!


 

 

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DEVOLUTION

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10 janvier 2011 1 10 /01 /janvier /2011 01:07

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Banette

Pas moyen pour les défenseurs des animaux de fêter l’épiphanie tranquilles !

Vous entrez dans une boulangerie acheter la traditionnelle galette des rois et, à la caisse, quelle n’est pas votre surprise de voir qu’on la glisse dans un sachet aux couleurs du cirque et que sur la couronne en carton, rouge et jaune, figure un dompteur face à un lion sur un tabouret.

Vous avez été roulé dans la farine en quelques secondes !

Difficile d’y échapper : sur le site http://www.croustillant-de-vie.com/relais-des-operations.html sur 37 pages, la liste de tous les noms des boulangers arborant l’enseigne Banette, participant à l’opération de partenariat avec le cirque Arlette Gruss, dans toute la France.

Comment expliquer à la boulangère que c’est une mauvaise idée ? Que le moment de convivialité du partage de la galette est gâché par cette initiative de mauvais goût (dans tous les sens du terme). Que nous n’avons pas du tout envie de trouver la fève qui nous conduira aux roulements de tambours et aux lions face au fouet du dompteur.

Qu’on se le dise chez Banette, nous ne voulons pas de place au cirque dès lors qu’on y réduit des animaux en esclavage !

Alors pas de frangipane signée Banette, et on va se charger de dire à la maison Banette qu’elle serait mieux inspirée de donner la préférence aux cirques intelligents de nouvelle génération qui ont compris que les animaux sur les pistes, dans des cercles de feu c’était, heureusement, une histoire du passé !

Envoyez par mail le texte que nous vous proposons ci-dessous à :

Email Banette : n.journoux@banette.fr (Natacha JOURNOUX – Responsable Marketing);p.garros@banette.fr (Pierre GARROS – Directeur Général)
Copie cachée (cci) à contact@actuanimaux.com

Email à envoyer :

Madame, Monsieur,

Nous avons pris connaissance en voulant fêter les rois, de votre partenariat consistant à offrir des places de cirque traditionnel à votre clientèle, avec le cirque Arlette Gruss en particulier qui présente des animaux exotiques, des tigres et éléphants dans son programme.
Connaissant les conditions de vie des animaux sauvages dans les cirques, nous sommes surpris et scandalisés de voir qu’une entreprise comme la vôtre n’hésite pas à en faire la promotion.

Saviez-vous que les animaux détenus dans les cirques subissaient des conditions d’existence et de dressage en total désaccord avec leurs besoins élémentaires et leur bien être ? Les progrès de l’éthologie, les reportages en milieux naturels ne nous permettent plus d’ignorer que ces splendides animaux valent mieux que ces numéros dégradants obtenus par la contrainte ou la violence.

Nous ne voulons plus pour nos enfants de cette vision passéiste, périmée du rapport de l’homme à l’animal. Un cirque différent, intelligent, inventif existe, il propose des spectacles à couper le souffle et… sans animaux ! C’est celui là qu’il faut aider, ce serait valorisant pour votre image de marque, pédagogique pour nos enfants et … bon pour les animaux enfin laissés en paix !

A toutes fins utiles, nous nous permettons de vous transmettre une vidéo qui mieux qu’un long discours pourrait vous faire prendre conscience de ce qui se cache derrière les paillettes et les strass pour les malheureux animaux, qu’ils soient capturés ou reproduits en captivité : http://www.dailymotion.com/video/x3dgzk_extrait-earthlings-sur-les-cirques_animals

Dans l’attente d’une réponse, veuillez agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées.

NOM :
Prénom :
Adresse :
Code Postal :
Ville :
Email :

Nous invitons ceux qui le souhaitent à se rendre sur les sites des associations Code Animalet One Voice qui effectuent un travail remarquable contre la présence des animaux sauvages dans les cirques.

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10 janvier 2011 1 10 /01 /janvier /2011 00:40

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les-deces-massifs-d-oiseaux-et-de-poissons-se-produisent-re.jpg

 

Suite aux "pluies" d’oiseaux morts qui se sont succédé aux Etats-Unis puis en Suède, et aux décès de millions de poissons à plusieurs endroits du monde à peu près au même moment, la Toile s’enflamme. Des internautes parlent de l’apocalypse ou de graves bouleversements environnementaux. Mais selon les experts, ces morts en masse se produisent régulièrement. Tout serait normal.


Il n’y a pas lieu de s’inquiéter, estiment les biologistes. Alors que depuis une semaine des milliers d’oiseaux sont tombés du ciel raides morts au même moment dans deux Etats américains et dans une petite ville de Suède, et que plusieurs poissons ont été retrouvés sans vie dans un estuaire des Etats-Unis, au large du Brésil et sur des plages néo-zélandaises, la situation ne devrait pas alarmer, d’après des experts américains. Ce phénomène serait courant, surtout en Amérique du Nord, si l'on en croit plusieurs documents fédéraux.
Depuis les années 1970, le Geological Survey’s National Wildlife Health Center américain (USGS), dans le Wisconsin, a enregistré chacune de ces morts en masse parmi les oiseaux et les poissons notamment. Parfois ces décès sont dus à des maladies, parfois à la pollution. Et d’autres fois, c’est juste un mystère, indique à APla spécialiste de la faune sauvage LeAnn White.  Selon les ornithologues, le climat (et en particulier le froid) est généralement lié à ces décès.

Il n’y a qu’à se pencher sur les huit derniers mois pour comprendre que le phénomène n’est pas rare. L’USGS a enregistré 95 épisodes de morts d’animaux, en masse, en Amérique du nord. Sur la liste, on peut lire : 900 urubus à tête rouge dans les Keys en Floride, 4.300 canards tués par des parasites dans le Minnesota, 1.500 salamandres touchées par un virus dans l’Idaho, 2.000 chauve-souris tuées par la rage au Texas...
En moyenne, 163 phénomènes similaires sont rapportés au gouvernement fédéral chaque année, selon l’USGS. Et il y a eu plus impressionnant que les 3.000 oiseaux morts en Arkansas au début de l’année. En 1996, par exemple, 100.000 canards sont morts en même temps de botulisme, au Canada.

La médiatisation à l'origine des inquiétudes

Alors pourquoi s’alarme-t-on cette fois ?  Simplement parce que ces choses ne sont jamais rapportées par les médias d’habitude. La faute aux nouvelles technologies, pour le biologiste d’Harvard E.O. Wilson. Il pense qu’avec Internet et les smartphones, les gens sont de plus en plus au courant de ce qui se passe partout dans le monde. Et en temps réel. 
Ce genre d’événement est donc médiatisé aujourd’hui, alors que personne ne s’en souciait auparavant. Il est facile à l’heure actuelle de dégainer son téléphone portable, de prendre une photo de cadavre d’oiseau ou de poisson et de la diffuser dans la minute via les réseaux sociaux. Les gens s’intéressent généralement à ces mystères, selon l’Américain. Par conséquent, l’information fait rapidement le tour de la planète. Ainsi, des liens sont faits entre plusieurs événements similaires (morts de poissons au Brésil et mort d’oiseaux en Suède par exemple), alors qu’ils n’ont très certainement rien à voir. L’ironie, dans cette affaire, selon E.O. Wilson, c’est que toute l’attention cette semaine est portée sur ces extinctions d’animaux en masse, alors que des milliers d’autres espèces sont vouées à disparaître - plus lentement - à cause de l’activité humaine. Et aujourd’hui, personne ne semble s’en soucier.

 

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Planète Terre

En Danger ...


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9 janvier 2011 7 09 /01 /janvier /2011 00:59

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Le capitaine Paul Watson de Sea Shepherd est très, très énervé. Alors qu'il guerroie au beau milieu de l'Antarctique contre les baleiniers japonais, il a l'impression que l'organisation rivale abhorrée, Greenpeace, retire tous les marrons du feu. Ainsi, en début de semaine dernière, Carole Gaessler (présentatrice du 19/20 de France 3) attribuait des images de son affrontement avec les baleiniers harponneurs à... Greenpeace. Le vieux pirate, qui fut, en son temps, un des fondateurs de Greenpeace, en a marre de rester dans l'ombre de cette dernière. Déjà, son exploit méditerranéen, l'été dernier, d'ouvrir une cage de thons rouges capturés illégalement est souvent attribué à... Greenpeace.

Ce qui renforce sa fureur, c'est que, depuis quelques semaines, l'organisation "ennemie" a lancé une grande campagne pour faire appel aux dons afin de sauver les baleines, alors qu'elle n'a envoyé aucun navire en Antarctique. Il a donc chargé Lamya Essemlali, la présidente de la branche française de Sea Shepherd, de monter au front pour mieux faire connaître leur action. La jeune femme a donc accordé au Point une interview pour exprimer son ressentiment à l'égard de Greenpeace. Elle ne mâche pas ses mots.

 


 

Simultanément, entre deux affrontements avec les baleiniers, Paul Watson a pris sa plus belle plume pour écrire un texte au vitriol (que Le Point.fr publie ci-dessous). Mais cet abordage contre une organisation normalement "soeur" étonne. Pourquoi tant de haine ? Ce n'est pas dans l'habitude des ONG environnementales de se tirer dans les pattes. C'est plutôt même contre-productif. Certes, Greenpeace n'envoie plus ses navires en Antarctique depuis quelques années, mais elle poursuit une politique de lobbying auprès du président américain Barack Obama, estimant que, poussé par l'opinion publique, celui-ci pourrait exercer une pression efficace sur le gouvernement japonais afin de faire cesser sa chasse à la baleine, prétendument scientifique. C'est une stratégie parfaitement complémentaire à celle développée par Sea Shepherd. Il n'y a pas de quoi se faire la guerre. 

Mais ce n'est pas l'avis du capitaine Watson. La lettre qu'il nous a adressée du fin fond de l'océan australe :

En tant que cofondateur de la fondation Greenpeace, je suis quelque peu inquiet de voir que les dirigeants de Greenpeace sont en train de perdre le sens des réalités. Greenpeace n'envoie plus de bateau dans l'océan Austral pour défendre les baleines. Au lieu de ça, ils ont inventé un jeu vidéo permettant de sauver virtuellement des baleines. Pourquoi se déplacer jusqu'aux côtes reculées, hostiles et gelées de l'Antarctique, quand il est possible de sauver des baleines sans bouger de votre salon en jouant au jeu Sauvez les baleines de Greenpeace ? D'ailleurs, sachez que si vous envoyez un don à Greenpeace aujourd'hui, cette organisation s'engage à envoyer une authentique petite baleine en papier au président Barack Obama de votre part.

Voici ce qu'affirmait dernièrement Greenpeace :

"Il y a trente-cinq ans, Greenpeace devenait la première organisation à affronter les flottes commerciales de baleiniers en haute mer."

Et aujourd'hui, voici ce qu'ils font :

"Si vous faites un don aujourd'hui, l'équipe de Greenpeace et moi-même enverrons une baleine en papier à la Maison-Blanche de votre part. Et nous ferons en sorte que tout le monde soit témoin de votre soutien en diffusant les images de ces baleines en papier tout autour du monde." Signé : John Hocevar, directeur de la campagne Océans de Greenpeace

Bob Hunter et moi-même avons été les premiers à nous interposer entre huit cachalots et un bateau harpon soviétique ; à l'époque John Hocevar avait à peine quatre ans. Toutes les personnes qui étaient avec nous ce jour-là ont quitté Greenpeace. Alors John peut continuer à clamer que Greenpeace a été la première organisation à s'opposer à la chasse commerciale baleinière et à s'inclure lui-même dans ce combat originel, mais moi je peux témoigner du fait que ce sont mes camarades de l'époque les pionniers de ce combat. Parce que nous avons vu de nombreuses baleines mourir et parce que nous avons failli mourir nous-mêmes, nous restons très attachés à la cause des baleines.

C'est pour toutes ces raisons que la banalisation de ce que nous avons fait, et continué à faire pendant trois décennies et demie, me met hors de moi. Pour nous, les baleines ne sont pas une abstraction !

Il y a quelques années, John Hocevar écrivait également ceci :

"J'attends avec impatience le jour où, à l'occasion de la journée mondiale des océans, je pourrai me relaxer en buvant une bière, en étant sûr que les océans vont bien. J'espère sincèrement que cela ne nécessitera ni voyage dans le temps, ni escapade intergalactique."

Non, il semblerait que, pour John, cela implique seulement des jeux vidéo et des baleines en papier.

Pourquoi est-ce que tout cela me contrarie ? Parce qu'à l'heure actuelle, Sea Shepherd envoie trois navires et quatre-vingt-huit volontaires dans l'océan Austral. Nous sommes déjà présents là-bas et nous y attendons les braconniers, prêts à défendre les baleines vulnérables. Nous ne sommes pas rentrés à la maison pour Noël, nous n'avons pas célébré la nouvelle année avec nos amis et notre famille, et nous ne jouons pas à sauver les baleines en traquant des chasseurs virtuels sur un écran d'ordinateur.

Nous ne dépensons pas d'argent dans des campagnes d'e-mails massives et nous n'envoyons pas des recruteurs, payés, dans les rues des plus grandes villes du monde pour qu'ils soutirent des dons aux passants. Et ce, sachant que cet argent servira dans une large mesure à rémunérer ces recruteurs de donateurs. Les fonds de Sea Shepherd sont dépensés dans nos campagnes parce que je sais, depuis déjà plusieurs années, qu'il y a deux types d'organisations : celles qui agissent et celles qui vous arrosent d'e-mails !

Fut un temps, Greenpeace faisait partie des organisations qui agissaient, qui envoyaient des bateaux, qui bataillaient, qui se salissaient les mains, qui étaient efficaces et qui sauvaient les baleines d'une morte certaine. Désormais, c'est une organisation bureaucratique qui fait du mailing, une organisation basée sur le paraître, qui collecte de l'argent et qui fabrique maintenant des baleines en papier !

Pendant que Greenpeace fait cela, pendant que John se relaxe en buvant une bière, nous sommes en train de traquer des baleiniers qui n'ont rien de virtuel. Cela fait sept ans que nous passons les fêtes aux confins de la planète pour défendre les baleines. Nos bateaux coûtent très cher et nous n'avons pas assez d'argent pour sillonner l'océan et intervenir partout où nous voudrions le faire. Nous bataillons pour acheminer nos bateaux, les ravitailler en carburant et en nourriture. Parallèlement, la machine à lever des fonds ultra-efficace de Greenpeace collecte des dizaines de millions de dollars en clamant que vos sous leur serviront à "sauver les baleines".

Et que font-ils ? Ils envoient des baleines en papier au président des États-Unis ! Pas au Premier ministre ou à l'empereur du Japon, ou au chef du gouvernement d'Islande, de Norvège ou du Danemark, mais au président d'un pays qui est déjà opposé à la chasse commerciale et qui a banni tout commerce de viande de baleine sur son territoire.

Alors qu'est-ce qui est dérangeant dans ce tableau ? Leur réponse est complètement déconnectée de la réalité. Et pour cause, cette campagne est avant tout un moyen pour Greenpeace de récupérer de nombreux dons à moindres frais. Pourquoi dépenser des centaines de milliers de dollars en carburant, en équipements et en provisions quand on peut faire sous-traiter à moindres frais auprès d'entreprises de mailing l'envoi de petites baleines en papier au président des États-Unis ?

J'imagine le président des États-Unis décrocher son téléphone : "Salut Naoto, excuse-moi, mais pourrais-tu rappeler à l'ordre tes chasseurs de baleines et tes massacreurs de dauphins, s'il te plaît ? Je suis complètement submergé de petits pliages en forme de baleine que l'on m'envoie par la poste. Très franchement, M. le Premier ministre, il faut faire quelque chose, je n'en peux plus. Je sais que je n'ai pas à vous donner d'ordre, Naoto, mais Greenpeace insiste pour que je vous demande d'arrêter de tuer les baleines et les dauphins. Apparemment ils n'apprécient pas que Sea Shepherd vous donne des ordres et bloque vos bateaux. Ils disent que si vous n'arrêtez pas ce massacre, ils vont m'envoyer toujours plus de ces agaçants petits trucs en papier, et, s'ils continuent, je vais finir par avoir Al Gore sur le dos à cause de tout ce gâchis de papier et je n'ai vraiment pas besoin de ça, Naoto."

Début septembre, Sea Shepherd a mis en place une équipe à Taiji, au Japon, et nous entendons bien rester jusqu'à fin mars, période à laquelle s'achève la saison des massacres. Greenpeace n'a pas mis un pied à Taiji pour s'opposer aux tueries de dauphins et considère que ces massacres relèvent de la "tradition" et se justifient de fait. Sea Shepherd est présent dans l'archipel des Galapagos (classé patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco) depuis 1999 où nous travaillons en collaboration avec les rangers pour stopper le braconnage et le massacre des requins pour leurs ailerons. Greenpeace ne s'est jamais intéressé à la pêche aux ailerons de requin. Greenpeace ne fait rien non plus pour sauver les phoques ou pour arrêter la pêche illégale. Et Greenpeace est encore moins présent ici, dans l'océan Austral, où le massacre des baleines pourrait commencer dès la semaine prochaine. Ils ont des bateaux. Ils ont les ressources, mais ils sont trop occupés à lever des fonds ou à accrocher des banderoles quelque part.

Ce n'est pourtant pas faute de les avoir appelés à l'aide. Je leur ai exprimé notre souhait de coopérer et je leur ai dit que nous leur ferions parvenir les coordonnées des baleiniers dès que nous les aurions localisés, mais ils refusent ne serait-ce que de nous répondre. Je n'ai même pas eu le droit à une de leurs petites baleines en papier en guise de lot de consolation. Pourtant, puisqu'ils semblent convaincus que ces baleines en papier suffiront à pousser le président des États-Unis à prendre des mesures contre le Japon, ils auraient pu au moins m'en envoyer une pour me calmer.

Non, ils ne veulent pas de vos dons pour financer un bateau et un équipage chargé d'intervenir contre les baleiniers. En revanche, votre don permettra d'envoyer une petite baleine en papier à votre nom au président des États-Unis.

Tout ce que je sais, c'est que je suis sur un bateau dans l'océan Austral et que les vagues fouettent la coque pendant que j'écris, assis sur ma chaise qui balance d'avant en arrière. Le vent hurle au dehors et, en ce moment même, quelque part sur l'océan, la flotte baleinière japonaise se dirige tout droit vers le sanctuaire baleinier de l'océan Austral, déterminée à tuer plus d'un millier de baleines.

Et où est John ? Il se relaxe en buvant sa bière, probablement après la très coûteuse fête de Noël de Greenpeace. Et le jour de Noël, quand il coupera la dinde et mettra quelques cuillères de farce dans son assiette, il sourira, se réjouissant d'être chez lui pour fêter Noël en famille. Et ce, grâce à Greenpeace qui a remplacé les véritables bateaux et la vraie passion par des jeux vidéo et des jeux de pliage.

Bien joué John ! Très bien joué !

Source: link

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8 janvier 2011 6 08 /01 /janvier /2011 20:33

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 La télévision publique espagnole, RTVE, a annoncé samedi qu'elle renonçait aux émissions sur les corridas, afin officiellement d'épargner aux enfants le spectacle de toute "violence envers les animaux".

"Les enfants peuvent réagir par l'anxiété à des images de violence envers les animaux, et nous devons donc l'éviter par tous les moyens", précise la RTVE dans sa nouvelle charte déontologique, notant que les corridas ont souvent lieu aux heures de grande écoute des populations enfantines.

Le débat autour de la corrida, spectacle tauromachique de tradition espagnole qui s'achève par la mise à mort du taureau, et qui a fasciné des générations d'artistes et d'écrivains, est de plus en plus passionnel en Espagne.

En juillet, la Catalogne (nord-est) est devenue la deuxième région du pays à l'interdire, emboîtant le pas aux Iles Canaries qui l'avaient bannie en 1991.

La RTVE n'a plus diffusé de corridas depuis des mois, mettant en avant les faibles taux d'audience et le coût élevé de tournages en extérieur. 

source: link

 

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Pendant que l'Espagne Progresse

La France Régresse  !!


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Un bon point pour

L'Espagne ....

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7 janvier 2011 5 07 /01 /janvier /2011 17:08
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Le dressage des animaux dans les cirques est une activité totalement dépourvue d’éthique et d’intérêt. One Voice dénonce les violences subies pour effectuer des numéros contre-nature.

La peur et la force, instruments du dressage

 
Pour qu’un lion saute dans un cerceau, qu’un ours danse sur un ballon ou qu’un éléphant marche sur les pattes arrière, il n’y a pas de mystère, pas de relation exceptionnelle avec le dresseur, pas d’intimité… Non, le seul moteur qui pousse ces animaux à effectuer des exhibitions contre-nature, souvent douloureuses pour eux, c’est la peur. Le dresseur s’impose par la force. Il les oblige à effectuer des numéros sous la contrainte et par du « conditionnement négatif ». « Pour que le lion reste sur son tabouret, il faut qu’il comprenne qu’il n’y a que là qu’il aura la paix… » Tels sont les propos tenus par un dresseur et entendus par notre enquêteur. Menés à la baguette –au sens propre– ces animaux souffrent. Chiens et chats ne font pas exception. Pour eux aussi le dressage est strict. Et entre deux sessions, eux aussi vivent enfermés, souvent entassés dans des cages.

Contre-nature
Les numéros que doivent réaliser les animaux dans les cirques sont, pour eux, contre-nature. Dans la majorité des cas, on les oblige à adopter des postures qui ne leur sont pas naturelles, ou à tenir longtemps une position inconfortable… Résultat : de nombreuses blessures, fractures et… des troubles comportementaux. Obligés d’exécuter inlassablement les mêmes mouvements dépourvus de sens - si ce n’est d’échapper à la punition -, privés de toute forme de liberté d’expression, les animaux dépriment, dépérissent et se laissent même mourir... Parfois, dans un ultime sursaut de vie, ils tentent de se rebeller. Pour eux, plus d’espoir. Le dresseur, jugeant alors l’animal inapte, n’aura aucun intérêt à le garder en vie… Quant à ceux qui parviennent à se sauver, s’ils appartiennent à une espèce dangereuse, ils sont la plupart du temps abattus par les forces de l’ordre.

Les enfants désinformés
Le dressage est vide de sens. On ne peut même pas tenter de le justifier par l’intérêt pédagogique qui viserait à faire mieux connaître les espèces. Au contraire. Des animaux qui normalement ne se seraient jamais rencontrés, comme des tigres d’Asie et des lions d’Afrique, se retrouvent ensemble à effectuer un numéro. Et il ne s’agit pas là de montrer un comportement naturel mais un numéro de clown, où l’animal est ridiculisé. À titre d’exemple, ce chimpanzé déguisé dont tout le monde croit qu’il rit quand il exprime sa terreur… Quel intérêt de donner à voir aux enfants comment, par la contrainte et par la force, on peut soumettre les plus faibles et les obliger à faire n’importe quoi, à s’oublier eux-mêmes ? De leur faire croire que ces animaux, sauvages ou domestiques, jouent et s’amusent avec les humains, quand ils souffrent et sont effrayés ? 

Les animaux sauvages n’ont leur place que dans la nature. Quant aux animaux domestiques, leur unique rôle devrait être de partager la vie d’un humain pour se tenir mutuellement compagnie…

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Obligés d’exécuter inlassablement les mêmes mouvements dépourvus de sens - si ce n’est d’échapper à la punition -, privés de toute forme de liberté d’expression, les animaux dépriment, dépérissent et se laissent même mourir...

 

Dressés Pour Souffrir:

Vidéo: link

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4 janvier 2011 2 04 /01 /janvier /2011 10:02

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Une récente enquête d'infiltration de PETA a révélé que l'Université d' Utah achète des chiens et des chats  du refuge pour  animaux qui seront  destinés à des expériences cruelles et meurtrières. À la suite de notre enquête et le tollé du public, les législateurs de l' Utah ont voté massivement pour modifier la loi-saisie  qui  permet à des refuges pour animaux le droit de refuser de les livrer à  cette université. La nouvelle loi a incité les refuges qui ont vendu  la plupart des animaux à l'université de mettre fin à cette pratique honteuse et de rompre leurs liens avec celle-ci, qui a récemment été citée pour neuf violations des lois fédérales sur la protection des animaux  après une plainte de PETA, association de protection animale. 

Maintenant, un seul refuge pour animaux dans l'ensemble de l'État du Nord Utah Valley Animal Shelter (NUVAS)-trahit encore des animaux vulnérables en les vendant à l'école pour des expériences. Certains des chiens et chats vendus par ce refuge pour animaux à l'université ont des trous percés dans leurs crânes, des dispositifs médicaux implantés dans leur cou, et des tubes en plastique durs régulièrement forcés dans leur gorge. 

S'il vous plaît, prenez une minute de votre temps pour communiquer avec les responsables NUVAS et respectueusement les inciter à cesser de permettre au refuge de vendre des animaux sans-abri à l'Université de l'Utah!

cliquez sur le lien ci-dessous pour les aider. c'est en anglais mais il faut signer en mettant vos coordonnées. merci


Pétition: (link)

 

 

Article Complet: (link)

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DEVOLUTION


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