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3 février 2012 5 03 /02 /février /2012 14:28

QINHUANGDAO, province de HEBEI.

Dans la cour de fourniture de fourrure, les ouvriers dépouillent les animaux vivants et conscients, ils accrochent ensuite la peau sur un poteau et enlèvent la graisse à l’aide d’un couteau.

Le sol est couvert de sang et de chaire, toute la cour est imprégnée par cette puanteur.

Cette année la fourrure est revenue soudainement à la mode.

De grandes marques telles que FENDI, GUCCI et BURBERRY ont lancé des séries de coutures faites avec de la fourrure.

Dans le même temps, des top-modèles, des stars marchent sans cesse sur des tapis rouges, portant de la fourrure…

Vêtements de fourrure, gilets en fourrure de lapin, vestes en fourrure.

Même les chaussures, les chaussettes sont « décorées » de fourrure…

80% de boutiques de mode (HK or Chine continentale ???) font la promotion de  ces « produits »…

En réalité, certains producteurs de fourrures  « éthiques » ont contribué au retour en force de la fourrure : ils prétendent que toutes les fourrures viennent d’animaux d’élevage.

A cela s’ajoute « l’effet de star ».

Selon l’estimation de la chambre de commerce de fourrure de Hongkong, l’exportation des vêtements de fourrure a augmenté, rien que pendant les cinq premiers mois de l’année, de 20%.

Le chiffre d’affaire ayant atteint cinq cent millions de HK Dollars, (soit quarante-sept millions deux cents cinquante mille euros)

Mais enfin, d’où viennent ces fourrures ?

Selon de document d’IFTF (International Fur Trade Federation), 85% de matières premières (fourrure) qu’utilise le marché mondial de fourrure provient d’animaux d’élevage et la Chine occupe à elle seule 65% de ce marché.

Des journalistes se sont rendus à QINHUANGDAO, province de HEBEI pour voir l’un des plus grands fournisseurs chinois et y ont découvert des centaines de millier de zibelines, renards et lapins enfermés dans de toutes petites cages.

Les conditions d’élevage y sont exécrables.

Chaque année en novembre, au moment où leur fourrure est devenue abondante, ces animaux sont frappés à mort sauvagement et dépouillés…

Sur place, les hurlements d’animaux remplissent les oreilles, c’est un véritable massacre.

…XIAO LIU (jeune homme nommé LIU), le responsable du lieu dit aux journalistes « Vous avez choisi le bon endroit car notre production est très reconnue, nos produits sont exportés en Europe, aux Etats-Unis et les grandes marques s’en servent toutes ».

Il accompagne les journalistes pour visiter l’élevage.

A peine la porte métallique s’est elle ouverte, des milliers de mouches, ainsi que l’odeur de sang, nous frappaient le visage de plein fouet.

Sur le sol, plusieurs centaines de peaux de renards argentés séchaient au soleil…

Dans l’arrière cour, la puanteur de cadavres d’animaux nous montait au nez…

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Aussitôt vendu, une zibeline est jetée à terre et un ouvrier la frappe violemment sur la tête, l’animal agonisant se débat sans cesse faisant de gros nuages de poussière…

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L’ouvrier accroche l’animal sur un crochet, tire la peau depuis sa tête de toutes ses forces, causant de gros bruits étranges…

 

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Partout sur le marché, on voit des zibelines, des renards et des visons fraichement tués, leurs têtes couvertes de sang. Une zibeline, dont le crâne venait d’être fracassé, convulsait encore et poussait de petits cris plaintifs.

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Une ferme d’élevage  est tout simplement un camp de concentration.

De la naissance à la mort, les animaux sont enfermés, sans pouvoir bouger, dans des cages exiguës, leurs excréments s’entassent sous la cage, comme des collines, empestant l’atmosphère.

Trop longtemps enfermés, les renards des neiges, féroces de nature, se cachent dans un coin, effrayés par le passage des gens.

La taille des cages est d’environ un mètre seulement, remplie chacune tout de même de deux bêtes au moins. A force d’être contraints de se tenir debout, beaucoup d’entre eux sont couvets de blessures causées par les fils de fer.

« … Les Etrangers aiment souvent cette couleur… » dit XIAO Liu en pointant des renards qui reculaient en nous voyant arriver, tout tremblants et poussant des hurlements et des sanglots.

D’après XIAOLiu, plus de 300 familles de son village élèvent au moins 540 000 animaux (pour leur fourrure) par an.

Le chiffre d’affaire atteint 215,000 RMB (soient 25,000 euros).

« C’est la seule chose qu’ils sachent faire » dit XIAOLiu.


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Le sol est couvert de peaux de zibelines, des centaines de mouches survolent l’endroit, une vraie scène d’horreur.

. . .

Pour garantir « la qualité » du produit, les acheteurs demandent souvent aux paysans de dépouiller las animaux vivants, sur place.

. . .

Voici les procédures :

Tout d’abord, un ouvrier arrache de sa cage une zibeline se débattant. Ensuite, il frappe violemment sur la tête de l’animal à l’aide d’un objet métallique. Le crâne complètement fracassé, la bête pousse de tragiques hurlements de douleur atroce. Respirant toujours, l’animal est cloué sur un poteau en bois et, sans dire un mot, l’ouvrier pratique deux incisions entre les deux pattes arrières de l’animal et arrache la peau violemment depuis l’anus jusqu’à la tête. Cela est accompagné d’un cri indescriptible de la bête. Une peau a été ainsi séparée du corps de l’animal qui saigne de partout…

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Près du marché, un vendeur tout souriant, la fourrure d’un renard autour du cou « Regardez, c’est la mode de l’année »

Voyant toute cette atrocité subie par leurs semblables, d’autres animaux qui attendent leur tour mordent obstinément leur cage, poussant des cris stridents alors que ceux qui viennent d’être arrachés à leurs cages tremblent, incontinents…

Origine des trois principales fourrures

Vison : Europe 64,73%. Chine 19,35%. Deuxième exportateur du Monde en fourrure, la Chine exporte chaque année environ 9, 000,000 de pièces (de fourrure).

Renard (y compris les renards argentés, renards arctiques et renards de couleur): Europe 55,6%. Chine 41,24% suivant de tout près l’Europe. La Chine est le premier pays exportateur de fourrures de renards.

Lapin angora (lapin à poils longs ) : La Chine occupe la première place aussi bien en nombre d’élevages qu’en quantité d’exportation, fournissant ainsi 90% des fourrures de lapins et 95% des peaux de lapins.

80% de la fourrure chinoise arrive aux marchés européens, américains et japonais.

L’enquête révèle que l’Europe est la première destination où les fourrures venant de Chine sont souvent déguisées en « fourrure éthique » française ou italienne.

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d’innombrables fourrures sèchent sur le sol.

Toujours sans loi de protection des animaux donc aucune restriction sur l’élevage, le transport, l’abatage d’animal, les fourrures chinoises sont « de bonne qualité » et à un prix modéré, les producteurs « éthiques » européens tels que SAGA FUR OF SCANDINAVIA coopèrent étroitement avec ceux de Chine. ILS RECONNAISSENT OUVERTEMENT QUE 40 ,000 FOURRURES DE VISON ETATIENT VENUES DE CHINE !!

http://urgence-animaux-de-chine.over-blog.com/article-les-fourrures-que-vous-portez-68388519.html

 

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DEVOLUTION

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29 octobre 2011 6 29 /10 /octobre /2011 12:50
L’enquête au cœur de la filière européenne

Les investigateurs deCAFTont enquêté pendant 2 ans dans les principaux pays producteurs de fourrure de lapins (Italie, France et Espagne), ainsi qu’au Danemark. Ils ont visité aussi bien les élevages que les abattoirs, ou encore les tanneries.

Lapin en cageLes lapins vivent enfermés dans des cages grillagées, avant de rejoindre l’abattoir. Les mères sont en gestation quasi permanente. Tout est calculé pour une rentabilité maximale : taille des cages, quantité de nourriture, durée d’engraissement, durée de vie des mères...

Pour les éleveurs, ce ne sont plus des animaux, mais de futurs accessoires de mode ou garnitures de vestes. Leur bien-être n’est pas pris en compte. Seule la crainte des épidémies, favorisées par les élevages concentrationnaires et qui entraîneraient de grosses pertes financières, pousse les éleveurs à faire en sorte que les lapins puissent partir vivants à l’abattoir. La mortalité dans les élevages de lapins atteint couramment 20% !

Des enquêteurs ont notamment pu visiter en France un élevage et l’unique abattoir de lapins, dont la fourrure est utilisée dans l’industrie du luxe.

Rapport complet en français

Vidéo

Découvrez toute l’horreur de l’industrie de la fourrure !

Une vidéo longue versionest téléchargeable sur lesite de CAFT dédié à la fourrure de lapins

Les lapins en France pour l’industrie du luxe

La filière très fermée des lapins peut enfin être révélée au public. Les enquêteurs ont pu visiter l’un des élevages en France où sont élevés ces lapins, ainsi qu’un abattoir.

Les lapins vivent dans des cages grillagées, comme dans les autres élevages qui ont été visités durant cette enquête.

Les lapereaux sont très vite séparés de leur mère, qui est en gestation quasi-permanente.

Les lapins y restent environ 20 semaines, avant de partir à l’abattoir, qui abat également des lapins provenant d’autres élevages.

Visite guidée d’un abattoir de lapins

Après des heures de transport pour que le camion fasse la tournée des élevages, les lapins arrivent à l’abattoir.

Ils sont alors déchargés et mis à proximité de la chaîne d’abattage.

Les lapins reçoivent une décharge électrique censée les étourdir, mais beaucoup sont encore conscients pendant la saignée qui va suivre.

Commence alors le dépeçage des animaux : coupe des oreilles, retrait de la fourrure...

Après avoir été privés de liberté toute leur vie, dans des cages étroites et entièrement grillagées, ils finissent sur des cols de veste et dans les assiettes.

Enquête détaillée

Visitez le site de CAFT dédié à la fourrure de lapins :http://www.rabbitfur.org

Soutenir la lutte contre l’industrie de la fourrure

- Tout comme Fourrure Torture, l’association anglaise CAFT ne perçoit aucune subvention et est soutenue uniquement par des bénévoles (enquêteurs, traducteurs, monteurs images...). Il est nécessaire de poursuivre les enquêtes pour dévoiler au grand public l’aspect sordide de l’industrie de la fourrure.

Vous pouvez faire un don à l’association CAFT, en ligne via le système sécurisé Paypal ci-dessous, utilisé par de nombreux sites Internet (il n’est pas nécessaire d’ouvrir un compte paypal). Si vous souhaitez aider Fourrure Torture, vous pouvez aussi nous fournir des photocopies de tracts ou des timbres pour couvrir une partie des frais.

Merci d’avance à tous ceux qui permettront à CAFT de continuer à dénoncer l’industrie de la fourrure.

 

                                 link
Agir autour de vous

- Diffusez autour de vous cette enquête : beaucoup de personnes ne connaissent pas la face cachée de l’élevage des lapins et de l’industrie de la fourrure.
- N’achetez que dans les magasins de prêt-à-porter qui ont pris la décision de ne plus vendre aucune fourrure.Voir la liste complète.Cette démarche est essentielle pour bloquer ce marché, que tente de conquérir l’industrie de la fourrure.


Dans la même rubrique :

-Élevage des animaux à fourrure
-Finlande - Récolte sanglante : le vrai prix de la fourrure
-Astrakan
-Fourrure en Chine
-Fourrure de lapin - Les vraies victimes de la mode...
-Souffrance dans les élevages Norvège
-L’élevage de visons à Emagny dans le Doubs sur la sellette
-Suède - l’horreur dévoilée dans les élevages

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21 octobre 2011 5 21 /10 /octobre /2011 10:34

La mort n'est pas mode.....
La douleur n'est pas fashion...
Étaler les restes d'âmes massacrées ne te rend pas belle/beau

Tu es seulement un cimetière ambulant.......

ANIMAL LIBERATION FRONT

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4 avril 2011 1 04 /04 /avril /2011 05:49
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NOMBRE D'ANIMAUX TUES POUR UN SEUL MANTEAU DE FOURRURE



- de 25 à 45 agneaux
- de 10 à 20 castors
- de 12 à 15 chats sauvages
- de 30 à 200 chinchillas
- de 60 à 400 écureuils
- de 20 à 30 kangourous
- de 3 à 30 loups
- de 8 à 15 lynx
- de 60 à 70 mouffettes
- de 30 à 40 opossums
- de 6 à 8 pumas
- de 20 à 40 ratons-laveurs
- de 60 à 70 antilopes des sables
- de 60 à 70 zibelines
- de 10 à 12 blaireaux
- de 20 à 30 chats domestiques
- de 15 à 20 chien
- de 5 à 30 coyotes
- de 12 à 18 ocelots
- de 180 à 240 hermines
- de 30 à 40 lapins
- de 10 à 30 loutres
- de 40 à 60 martres
- de 6 à 10 phoques
- de 27 à 30 ragondins
- de 10 à 24 renards
- de 30 à 80 visons



LES ÉLEVAGES



Dans les élevages, les animaux sont confinés dans des cages grillagées, sales et minuscules. Ils y subissent des souffrances tant physiques que psychologiques, avant de mourir empoisonnés, gazés, le cou brisé ou tués par électrocution anale.
De nombreuses enquêtes et témoignages montrent qu'ils se font couramment arracher la peau alors qu'ils sont pleinement conscients.



LES PIÈGES



Le collet est fait de fil métallique et est muni d'un dispositif empêchant l'animal de se dégager. Le collet étouffe l'animal ou lui coupe le corps. Le degré de souffrance varie selon le fil employé, la grosseur de l'animal et la force de son combat désespéré...
Étrangle lentement l'animal lorsque celui-ci se débat pour s'échapper.


Le piège Conibear est supposé tuer l'animal qui s'y prend en lui cassant le dos ou le cou. Hélas trop souvent, ce n'est pas le cas: l'animal demeure en vie, le corps broyé par le piège et souffrant pendant des heures, des jours et des nuits..
Le piège conibear n'assure pas de façon certaine une mort rapide et sans souffrance puisqu'il est toujours possible que l'animal n'y entre pas correctement et qu'il se prenne par le cou ou l'abdomen, si l'impact n'est pas assez puissant.


Le piège Leghold qui retient la patte , surnommé «attrape-patte» mais pour lequel «broyeur de patte» conviendrait mieux.- Il est fait de deux bandes d'acier en forme d'arceaux, ou mâchoires, mues par un puissant ressort (parfois deux) et montées sur une base d'acier dont le centre est muni d'une planchette servant de déclencheur. Amorcé, le piège est maintenu grand ouvert par un verrou, couramment appelé «chien», puis installé dans un sentier fréquenté par l'animal convoité ou près d'un appât de nourriture. Quand l'animal marche sur la planchette, le verrou se déclenche aussitôt et les mâchoires se referment violemment sur la patte; "on décrit souvent l'effet en le comparant à une portière de voiture qui se rabat sur une main ou un pied", il faut ensuite situer la scène loin de tout secours et généralement en plein hiver, en se rappelant qu'en plus d'une vive et soudaine douleur, l'animal subit un choc «qu'il nous est difficile de concevoir, parce que c'est un choc de totale incompréhension de ce qui lui arrive».
Ce piège est interdit dans plus de 65 pays - excepté au Canada, aux États-Unis et en URSS. Au Québec on piège ainsi le renard, le coyote, le loup, le lynx roux et le lynx du Canada.


Suivant les législations, les trappeurs ont l'obligation de vérifier leurs pièges sur une durée allant d'une journée à une semaine. Il arrive aussi qu'aucune obligation ne soit prévue. Pour les animaux qui sont encore vivants au retour du trappeur, le calvaire continue. Pour éviter d'endommager les peaux, les trappeurs battent les animaux à mort. Une méthode courante consiste à mettre un pied sur la tête de l'animal et presser la poitrine avec l'autre pied pendant plusieurs minutes, afin de provoquer l'étouffement de l'animal.

Appelés « déchets » par les trappeurs, des millions d'animaux sauvages ou domestiques meurent dans d'atroces souffrances après avoir été pris dans ces pièges. Pour un animal visé, entre 1 et 10 animaux sont piégés « par accident ». Les blessures provoquées sont si sévères que le membre blessé des animaux familiers est généralement amputé. Les pièges Conibear laissent généralement peu de chances de survie aux animaux.



LES FOURRURES DE CHATS EN SUISSE



En suisse, le parlement à modifié, en 2005, la loi sur la protection des animaux, interdisant "l'importation des peaux de chats et de chiens et de produit fabriqués à partir de telles peaux. Cette modification doit entrer en vigueur dans le courant 2008.
Mais aucune loi sur l'exportation, pourquoi ? car le législateur de ce parlement ne s'imaginait pas un commerce de chat dans leur pays.
Ces peaux de chats sont sources de croyances contre les rhumatismes ou encore ont des vertus magnétiques pour certains. Des peaux comme celles-ci sont en ventes libres dans une mercerie à Bienne. Six ou sept peaux différentes sont suspendues entre des ceintures sur un présentoir, à côté de la caisse.



LA FOURRURE EN ASIE

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Alors que des chats et des chiens vivent choyés autour de nous, d'autres subissent les pires atrocités en Asie. Les animaux passent leur vie dans des bâtiments miteux, sombres et non chauffés pendant les rudes hivers du nord de la Chine.

Chats tués par pendaison avec un collet, chiens battus à coups de gourdin ou saignés à mort, berger allemand dépecé alors qu'il est encore en vie...
On retrouve plus communément cette fourrure dans des figurines décoratives d'animaux, des jouets à mâcher pour chiens, des garnitures de vêtements, des doublures...

Quand les ouvriers s'approchent des animaux, le regard de ces derniers exprime toute leur impuissance. Avant d'être dépecés vivants, les animaux sont arrachés de leur cage et jetés au sol ; les ouvriers les matraquent avec des barres de fer et les projettent violemment sur des surfaces dures, brisant ainsi les os et entraînant des convulsions, mais pas toujours une mort immédiate. Alors que les ouvriers commencent à arracher la peau et la fourrure des animaux, ces derniers se tordent de douleur et leurs membres encore libres tremblent. Les ouvriers font pression avec leurs pieds sur le cou et la tête des animaux qui luttent avec trop d'acharnement, pour que l'entaille soit franche. Quand la fourrure est enfin arrachée de l'animal, la dépouille ensanglantée est jetée sur un amas d'autres corps qui ont subi le même traitement. Certains animaux sont encore vivants : ils respirent péniblement et clignent lentement des yeux. Le cœur de certains bat encore 5 à 10 minutes après qu'ils ont été dépecés. Un enquêteur a filmé un chien sauvage (chien viverrin) entièrement dépecé, qui a eu assez de force pour relever sa tête nue et ensanglantée, et fixer son regard vers l'objectif.



LA CHASSE AUX PHOQUES ET AUX OTARIES



La chasse aux phoques au Canada est le plus grand massacre de mammifères marins dans le monde. Plus d'un million de phoques ont été abattus sur la banquise canadienne lors de ces 4 dernières années. Le ministère canadien des pêches et océans a autorisé pour 2008 l'abattage de 275000 phoques !!
Massacre des phoques
La chasse vise les très jeunes phoques. Les chasseurs canadiens utilisent des gourdins, des hakapiks (instruments avec une pointe métallique) ou des fusils. Les phoques luttent contre la mort pendant plus d'une heure, après avoir eu le crâne fracassé. Quelle que soit la méthode utilisée pour chasser les phoques, rien n'assure qu'ils soient tués sur le coup. Beaucoup d'entre eux se font retirer leur peau alors qu'ils sont encore vivants. En 2001, une équipe de vétérinaires a observé la chasse et a examiné les cadavres dépecés. La conclusion de leur rapport est accablante : 42% des phoques se font dépouiller de leur peau alors qu'ils sont probablement conscients. Les vidéos prouvent de nombreuses infractions au règlement canadien sur les mammifères marins. L'on peut y voir des bébés phoques saignés ou écorchés vifs et traînés sur la glace à l'aide de crochets affûtés...

Quant à la chasse aux otaries en Namibie (qui attire en moyenne pas loin de 300 000 touristes chaque année), C'est le deuxième pays de massacres des mammifères marins du monde. Cette chasse est soutenu par le gouvernement et 86 000 otaries seront tués cet année.



L'ÉTIQUETAGE



Le commerce de la fourrure est dissimulé par l'industrie de la fourrure. Afin de faciliter leur vente, les vêtements et accessoires en fourrure de chats ou de chiens sont étiquetés sous d'autres appellations (et souvent teinté de différentes couleurs).
Des négociants en fourrure ont expliqué aux enquêteurs que l'étiquetage dépendait des préférences de l'acheteur !
Ainsi, on retrouve la fourrure de chat vendue sous les appellations « chat lippi », « chat de chine » ou encore « lapin ». Quant à la fourrure de chien, on en trouve sous les noms fantaisistes « loup d'Asie », « dogue de Chine »



LA LAINE

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Si vous êtes comme la plupart des gens, vous refusez déjà de porter de la fourrure parce que vous êtes conscients des souffrances qu'elle implique pour les animaux.
Peut-être que vous optez pour du synthétique ou d'autres belles alternatives au cuir, mais avez-vous déjà pensé à la laine ? Malheureusement, comme toutes les industries qui utilisent les animaux, le commerce de la laine utilise des méthodes si cruelles qu'il y a de quoi avoir envie d'éliminer de sa garde-robe tout produit d'origine animal.


Aucun pays ne produit davantage de laine que l'Australie. Il s'agit surtout de mouton mérinos, qui ne sont pas originaires d'un pays chaud comme l'Australie. Les moutons mérinos ont été crées par croisement de facon à présenter un maximum de surface de peau, et donc de laine.
Ces moutons frankenstein ont de tels replis de chair qu'ils ne peuvent même pas faire leurs besoins convenablement. Des mouches pondent leurs œufs dans ces replis, et les larves dévorent littéralement le mouton sur pied.
Les éleveurs utilisent le moyen le moins cher, mais aussi le moyen le plus cruel et barbare pour combattre ces "attaques de mouches" : les agneaux sont jetés sur le dos pattes en l'air et retenus par des barres de métal. Puis, sans le moindre anti-douleur, de larges lambeaux de chair son découpés de leur croupe au moyen de cisailles de jardiniers, ce qui est censé créer des zones lisses après cicatrisation, dans lesquelles les mouches ont du mal à pondre leurs œufs.
Mais bien sûr, certaines blessures s'infectent et les mouches continuent à attaquer, parfois jusqu'à la mort de l'agneau. Il existe des méthodes alternatives beaucoup moins cruelles à ces mutilations comme tondre occasionnellement sous la queue, l'utilisation de pièges à mouches, la surveillance rapprochée du troupeau pour identifier et traiter rapidement les foyers d'infection, ou tout simplement, l'utilisation de moutons adaptés à un climat chaud.
Certains éleveurs australiens refusent de se prêter à ces pratiques barbare, mais la plupart choisissent encore de mutiler des millions d'animaux chaque année, parce que c'est ce qui reviens le moins chèr.
Voila ce que vous achetez, lorsque vous choisissez un article qui porte l'étiquette "laine mérinos" (voir la photo). Mais ce n'est pas tout.
Après été utilisés pour leur laine, les moutons d'Australie, d'Argentine ou d'autres pays, sont en général expédiés par bateau au Moyen-Orient pour y êtres abattus.
Entassés les uns sur les autres sur plusieurs étages, ils voyageront en mer pendant plusieurs semaines dans une chaleur et une saleté épouvantable, en proie à une panique constante. Des capitaines de marine ont confié à PETA que l'on peut sentir ce genre de bateau avant même de les apercevoir. Imaginez ce que ca doit être à bord.
Chaque année, des dizaines de milliers de moutons meurent en route, soit à la suite de leurs blessures, soit parce qu'ils sont incapables de se frayer un chemin jusqu'à la nourriture, ou encore parce qu'ils tombent malades à force de vivre dans leurs excréments.
Certains sont jetés par dessus bord et sont mangés par les requins mais ce sont encore ceux qui ont le plus de chance. Quand les survivants arrivent à leur destination finale, où les normes de bien-être animal sont quasi-inexistantes, les moutons sont poussés à bord de camions à force de coup de pieds ou tirés par les pattes ou les oreilles. Les animaux ne sont pas assommés avant d'être abattus, et ils sont donc pleinement conscient quand ils sont traînés dans des abattoirs, ou sur des places de marché où on leur tranche la gorge.
On les entassent souvent sur d'autres moutons déjà égorgés, où ils se vident peu à peu de leur sang. Des moutons sont encore conscient au moment où ses pattes sont sectionnés, et pendant que les bouchers commencent à le démembrer et à l'écorcher.



QUE PEUT ON FAIRE ?



Boycottez la laine australienne jusqu'à ce que l'Australie en termine avec la mutilation des moutons et l'exportation d'animaux vivants.
Ensuite en tant que consommateur, vous pouvez aussi vous faire entendre en refusant tout article comportant de la laine. La situation des moutons de Chine, de Turquie, d'Iran opu d'autres pays exportateurs de laine n'est en effet pas tellement plus enviable.
Ne portez jamais de cadavre et ne cautionnez pas les grandes marques productrices de fourrure (N'achetez pas et plaignez vous auprès des responsables)
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Refusez de Porter la Mort  !!!
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31 mars 2011 4 31 /03 /mars /2011 05:07

Que faut-il faire ou dire pour que les gens arrêtent de porter de la fourrure? Pour sa nouvelle campagne, l'association PETA (People for Ethical Treatment of Animals) a demandé l'aide de l'agence publicitaire Draftfcb+Shimoni Finkelstein Barki. Leur cri du coeur? "Il n'y a pas de beauté dans la cruauté!".


Chaque année, 50 millions d'animaux sont tués pour fournir l'industrie de la mode en peaux diverses. Cette nouvelle campagne de presse a été conçue pour attirer l'attention sur la cruauté associée à ces vêtements de fourrure. On y voit des poupées portant de la fourrure et des morceaux d'animaux éparpillés à leurs pieds.

Nombre d'animaux nécessaires pour faire un manteau de fourrure:

- 12-15 lynx
- 10-15 loups ou coyotes
- 15-20 renards
- 60-80 visons
- 27-30 ratons laveurs
- 10-12 castors
- 60-100 écureuils

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Beauté Barbare  !!!
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22 mars 2011 2 22 /03 /mars /2011 19:21

Chaque année, les trappeurs tuent de façon cruelle des millions d'animaux pour leur fourrure, ainsi que de nombreux animaux pris par erreur dans ces pièges (animaux domestiques, lapins, oiseaux...). Pour un animal visé, entre 1 et 10 animaux sont piégés « par accident ». Les pays qui piègent le plus d'animaux pour leur fourrure sont les États-Unis, la Russie et le Canada.
Plusieurs pièges sont utilisés pour capturer les animaux dans leur environnement naturel : les pièges à mâchoires, les collets, les pièges Conibear...

Le piège à mâchoires reste le plus largement employé. L'AVMA (American Veterinary Medical Association) a qualifié ces pièges d'« inhumains ». Ce piège très basique mais particulièrement barbare a été interdit dans 89 pays. Quand l'animal marche sur ce piège, les mâchoires se referment instantanément sur l'un de ses membres. L'animal se débat frénétiquement pour lutter contre la souffrance insoutenable provoquée par le piège qui a pénétré dans sa chair, souvent jusqu'à l'os. Les animaux finissent par mourir d'épuisement, de froid, d'infection, tués par des prédateurs ou par les trappeurs.

Les animaux, comme les castors et les rats musqués, victimes des pièges sous-marins, peuvent lutter désespérément jusqu'à 20 minutes avant de mourir noyés.

Pour éviter que les animaux se fassent mutiler par des prédateurs, les trappeurs utilisent aussi des pièges qu'ils fixent dans des arbres ou sur des poteaux. Les animaux pris dans de tels pièges sont pendus par le membre piégé jusqu'à ce que mort s'en suive. Les pièges Conibear écrasent le cou des animaux. Ces derniers peuvent suffoquer jusqu'à 8 minutes dans ce piège.
Pour les animaux qui sont encore vivants au retour du trappeur, le calvaire continue. Pour éviter d'endommager les peaux, les trappeurs battent les animaux à mort. Une méthode courante consiste à mettre un pied sur la tête de l'animal et presser la poitrine avec l'autre pied pendant plusieurs minutes, afin de provoquer l'étouffement de l'animal.

Le mythe de la conservation des espèces

Malgré la propagande des fourreurs, il n'y a aucune raison écologique pour piéger les animaux dans la nature. Les animaux n'ont pas besoin de l'homme pour se réguler. Même si des interventions humaines ou une situation inhabituelle venaient à faire augmenter temporairement une population, l'équilibre reviendrait rapidement par des processus naturels.

 

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2 mars 2011 3 02 /03 /mars /2011 07:22
Elevage de visons en France : silence absolu
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Visons en cage - Photo © CPEPESC

L’industrie de la fourrure en France maintient le plus grand des secrets sur l’élevage des animaux à fourrure, notamment l’élevage des visons. En effet, il n’y a rien de glamour à montrer des animaux entassés dans des cages minuscules et grillagées, qui finissent gazés pour que leur dépouille se retrouve sur un col, une veste ou un accessoire.

En 2010, 180 000 visons ont été tués en France selon les chiffres indiqués par l’industrie de la fourrure, chiffre d’autant plus surprenant sachant que celui de 2009 était de 150 000, et qu’il est difficile d’augmenter les capacités des élevages. Une vingtaine d’élevages est dénombrée en France (impossible d’obtenir le chiffre exact !)

Emagny : élevage pointé du doigt

A Emagny dans le Doubs, un éleveur de visons pour la fourrure, s’est implanté en 1985 sur la base d’une simple déclaration, pour un élevage de 1 000 visons. Au fil des années l’élevage s’est étendu, il détient désormais 9 000 animaux au plus fort de la population annuelle selon le rapport d’une consultation publique menée en 2010. Cette consultation publique fait suite à la demande de l’éleveur de porter la capacité de son élevage à une capacité de 11 500 visons !

Cet élevage a fait particulièrement parler de lui ces dernières années suite aux interventions de la CPEPESC, Commission de Protection des Eaux, pour ses irrégularités. En 2002, cette association prévenait déjà la préfecture que l’élevage n’était pas conforme, tant d’un point de vue sanitaire que réglementaire. Sur la base du Code de l’environnement et de l’urbanisme, la Préfecture a alors mis en demeure l’éleveur de mettre ses installations en conformité avec les lois.

Les cadavres de visons donnés à consommer aux autres visons !

Le commissaire enquêteur indique dans son rapport que “les carcasses de la production 2009 n’avaient pas été enlevées par l’équarrisseur mais consommées par les animaux présents sur l’élevage au moment des abattages étalés dans le temps”. L’Est républicain, dans un article publié le 16/12/2010, rapporte les propos de l’éleveur « Oui, mais le vison est un carnassier qui mange 80 % de viande et, sur 450 tonnes que je leur donne à manger par an, il doit y avoir 5 ou 8 tonnes de vison ». Le rapport indique en effet que l’éleveur a broyé les carcasses puis les a mélangées au reste des aliments habituels consommés par les visons. Cette pratique est prohibée en raison des risques sanitaires, mais il n’y a visiblement pas de petites économies !

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Rangée de cages - Photo © CPEPESC
Fonctionnement de l’élevage

Les petits naissent en mars/avril. Ces animaux sauvages très actifs ne connaîtront que les cages de l’élevage. Il faut préciser que ces animaux semi-aquatiques ne pourront jamais prendre de bains d’eau. Leurs déjections sont épandues sur les terres, principalement céréalières, d’agriculteurs voisins.

Un document de la Chambre d’agriculture du Doubs indique que les animaux sont gazés au mois de novembre dans une cage hermétique reliée au pot d’échappement d’un moteur thermique. Jusqu’à présent, les animaux étaient dépouillés sur place et les peaux exportées aux Pays-Bas. Selon l’éleveur, à partir de 2010, ce sera désormais la société belge Euromink qui récupérera les cadavres des animaux et les dépouillera.

A l’issue de l’abattage annuel, il reste 1500 animaux dans l’élevage.

Elevage dans l’illégalité

Les installations, situées sur la parcelle haute du domaine de l’éleveur, sont en totale illégalité puisque celle-ci est sur une zone boisée classée, non constructible. Cette parcelle compte selon le rapport de la consultation publique 3 bâtiments couvrant 1130 cages et une annexe de 1280 cages. Les scellés d’une partie des cages qui ne pouvait être utilisée ont été détruits par l’éleveur afin d’y remettre des visons !

Le 15 décembre 2010, le tribunal a condamné l’éleveur à détruire les ouvrages illégalement construits sur la parcelle haute de son domaine. L’Est républicain indique que pour ce faire un délai d’un mois lui a été accordé, faute de quoi, il devra payer 20 € d’astreinte par jour de retard. Cela, en plus d’une amende de 500 euros, ainsi que 1 500 euros à verser à la CPEPESC et 1 euro symbolique à la protection animale.

Fourrure Torture suivra de près l’évolution de ce dossier et espère que cet éleveur respectera enfin ce jugement.


Dans la même rubrique :

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2 mars 2011 3 02 /03 /mars /2011 06:20

 

Une enquête menée par Animal Defenders International (ADI) dans des fermes d’élevages d’animaux à fourrure en Finlande, premier pays producteur de fourrure de renards révèle l’horreur dans les élevages d’animaux à fourrure. Cette enquête intitulée « Récolte sanglante : le vrai prix de la fourrure », filmée et photographiée, et ayant donné lieu à un rapport sur l’industrie de la fourrure a été dévoilée lors d’une conférence de presse à Paris le 4 mars par ADI et Fourrure Torture, coïncidant avec les défilés parisiens Automne/Hiver de prêt-à-porter. Le but est d’interpeller les couturiers utilisant de la fourrure.

 


 
L’abomination au bout de l’enquête

Sur une période de 7 mois, une trentaine de fermes d’élevage finlandaises ont été sélectionnées au hasard pour mener l’enquête. L’investigation dévoile des animaux avec des plaies ouvertes et infectées, des signes évidents d’infections non soignées ; des yeux infectés ou manquants ; des queues mutilées ; des pattes difformes et endommagées ; des gingivites aiguës rendant l’abreuvement et l’alimentation difficile ; des renardeaux avec des pattes coincées dans les mailles du sol grillagé de leur cage ; des cages et équipements délabrés et dangereux ; des négligences et souffrances animales généralisées ; des abreuvoirs vides, sales et cassés.

Certains d’entre eux n’ont pas la force de résister à ces conditions infâmes, finissent par mourir dans leur cage, et sont laissés ainsi pendant des semaines. Le stress, l’angoisse et le bouleversement total des conditions de vie de ces animaux leur causent également d’inquiétants troubles du comportement. Telle est la triste réalité du quotidien pour ces animaux, qui attendent, dans ces conditions, le jour où ils seront électrocutés ou gazés pour leur fourrure.

Un impératif urgent : l’abolition des fermes d’élevage

La vidéo montre que lorsque l’Association Finlandaise d’Éleveurs d’Animaux à Fourrure déclare : « Tous les animaux à fourrure de Finlande sont élevés dans des conditions respectueuses de leur bien-être », ses prétentions sont tout à fait à l’opposé de la réalité, qui révèle toute la souffrance endurée par les animaux.

Les industriels du secteur prennent soin de dissimuler habilement la réalité peu glamour de la fourrure, mais derrière chaque manteau ou article à fourrure se cache en réalité l’horreur insoutenable. C’est un phénomène de mode, vanté par les industriels du secteur. Il est temps de stopper cette aberration qui génère d’insoutenables atrocités : Animal Defenders International et Fourrure Torture demandent l’arrêt des élevages d’animaux à fourrure et lancent un appel à Bruno Le Maire, Ministre de l’agriculture en France pour programmer la fin des élevages de visons.

Fourrure Torture appelle à l’action !

Fourrure Torture invite à écrire à l’ambassade de Finlande de votre pays afin de demander que la Finlande mette un terme aux élevages d’animaux à fourrure.

Votre lettre n’a pas besoin d’être très longue, elle doit rester courtoise afin d’être prise en compte par votre interlocuteur.

A titre indicatif, voici quelques arguments que vous pouvez utiliser pour rédiger votre lettre : 
- L’enquête menée par Animal Defenders International dans les élevages d’animaux à fourrure en Finlande montre des animaux blessés laissés sans le moindre traitement 
- Les images révèlent une situation inacceptable dans les élevages d’animaux à fourrure en Finlande, 
- Plusieurs pays ont déjà interdit l’élevage des animaux à fourrure, comme le Royaume Uni, la Croatie et l’Autriche. 
- Les rapports d’inspection démontrent que les fermes d’élevage d’animaux à fourrures en Finlande, qu’elles soient ou non en accord avec la législation en vigueur ne font preuve d’aucun respect du bien-être animal. 
- Seul l’arrêt de l’élevage des animaux à fourrure en Finlande peut faire cesser ces abus.

Adresses des ambassades de Finlande pour les pays francophones :

France
Ambassade de Finlande
1, Place de Finlande
75007 Paris
Tél. +33-1-4418 1920
Fax : +33-1-4555 5157
Mail : sanomat.par@formin.fi

Belgique
Ambassade de Finlande
Avenue des Arts 58
B-1000 Bruxelles
Tél. +32 2 287 12 12
Fax. +32-2-287 1200
Mail : sanomat.bry@formin.fi

Suisse
Botschaft von Finnland
Postfach 11
3000 Bern 15
Tel. +41 31 350 41 00
Fax : +41 31 350 41 07
Mail : sanomat.brn@formin.fi

Luxembourg
Ambassade de Finlande
2, rue Heine
L-1720 Luxembourg
Tél. +352-495 551
Mail : sanomat.lux@formin.fi

Canada
Ambassade de Finlande
55 Metcalfe Street, Suite 850
Ottawa, Ontario K1P 6L5
Tél :+1-613-288 2233
Fax : +1-613-288 2244
Mail : embassy@finland.ca

Algérie
4, boulevard Mohammed
V B.P. 256 16035 Hydra, Alger
Tél. : 69 12 92
Fax : 69 16 37

Maroc
Ambassade de Finlande
B.D. 590, Rabat Chellah
10002 Rabat
Tél. : +212-537-658 775
Fax : +212-537-658 904
Mail : sanomat.rab@formin.fi


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2 mars 2011 3 02 /03 /mars /2011 06:12

 

 

L'association de défense des animaux GAIA a lancé mardi une nouvelle campagne "contre la souffrance qu'endurent les animaux à fourrure". Elle rappelle qu'il existe 19 élevages de visons en Belgique, tous situés en Flandre, et que 150.000 de ces petits mammifères sont élevés et abattus chaque année dans notre pays "au terme de sept mois d'une vie de misère".

Afin de sensibiliser le public, des dizaines d'affiches ornent depuis mardi les stations de métro bruxelloises, et sont également visibles à Gand et Anvers, pour un total de 320 dans tout le pays. A Bruxelles, les visages de la campagne de GAIA sont les (ex)footballeurs Gilles De Bilde et Olivier Deschacht, ainsi que Midam, le créateur de Kid Paddle.
 
Quinze personnalités flamandes apportent également leur soutien à la lutte contre la fourrure. L'accent a d'ailleurs été mis sur la Flandre, puisque c'est là que se trouvent tous les élevages belges de visons.
 
L'action de GAIA vise aussi à "informer le public que la fourrure est incorporée aux vêtements de façon plus discrète", souvent à hauteur des manches ou du col. "Les personnes n'y prennent alors pas garde ou pensent qu'il s'agit d'une imitation, la différence n'étant pas toujours évidente", précise la présidente de l'association.
 
D'après un sondage réalisé en 2009 par IPSOS à la demande de GAIA, 87% des Belges sont en faveur d'une interdiction des élevages d'animaux pour la fourrure. (belga)
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20 janvier 2011 4 20 /01 /janvier /2011 19:02

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Pour la première fois, 30 Millions d’Amis a pu se rendre – en caméra cachée – dans un élevage de visons, installé sur le territoire national. 

Cet hiver, il serait prévu d’abattre 50 millions de visons, principalement au Danemark, en Pologne et en Chine, pour un chiffre d’affaires de plus de 13 milliards de dollars. Selon nos informations, il existerait 12 fermes de visons américains en France, ce qui représenterait 80 000 animaux abattus chaque année dans l’hexagone.


VIDEO: link

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Stop Fourrure

 

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